1904 | Dr. LEGRAIN - LEPESTEUR, 9 mai. | VOIR | |
1904 | Albert LAISANT fils - X. (Jacques BONZON), 9 mai. | VOIR | |
1904 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, 9 mai. | VOIR | |
1904 | Frédéric PASSY - Georges DEHERME, 9 mai. | VOIR | |
1904 | Mme H. ALEXANDRE - Georges DEHERME, 9 mai. | VOIR | |
1904 | Edmond GROULT - Georges DEHERME, 9 mai. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 9 mai. | VOIR | |
1904 | G. LEMARQUIS - Georges DEHERME, 10 mai. | VOIR | |
1904 | Eugène de SOLENIÈRE - X. (Jacques BONZON), 10 mai. | VOIR | |
1904 | X. - X. (Jacques BONZON), 10 mai. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 10 mai. | VOIR | |
1904 | A. GUISSET - Georges DEHERME, 10 mai. | VOIR | |
1904 | H. BOURCEY - Jacques BONZON, 10 mai. | VOIR | |
1904 | Léon FABRE - Georges DEHERME, 10 mai. | VOIR | |
1904 | Charles GUIEYSSE - Jacques BONZON, 10 mai. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 10 mai. | VOIR | |
1904 | Maurice VERNES - Jacques BONZON, 11 mai. | VOIR | |
1904 | Paul DESCHAMPS - Jacques BONZON, 11 mai. | VOIR | |
1904 | X. - Jacques BONZON, 11 mai. | VOIR | |
1904 | Mmes CHATELAIN - Georges DEHERME, 11 mai. | VOIR | |
1904 | Marcel HEYMANN - Jacques BONZON, 11 mai. | VOIR | |
1904 | Emile MAGRE - Georges DEHERME, 11 mai. | VOIR | |
1904 | Alexandre SEON - Georges DEHERME, 11 mai. | VOIR | |
1904 | A. DREYFUS - Jacques BONZON, 11 mai. | VOIR | |
1904 | C. WAGNER - Jacques BONZON, 12 mai. | VOIR |
ÉCHOS
Fontenay/Bois 12 Mai 1904 Monsieur, J’estime que c’est M. Deherme qui par sa persévérance a crée le premier noyau de l’Université populaire et en particulier celle du fg St Antoine appelée Coopération des idées. Et j’en parle comme un collaborateur de la première heure, alors que la Coopération des idées ayant déjà son nom et son idéal, n’avait encore pour local qu’une humble boutique d’arrière-cour dans la rue Paul Bert. C’est dans cette œuvre du premier degré que M. Deherme a fourni la preuve qu’une œuvre plus vaste était possible. Plus tard il s’est donné et dépensé ; … à la Coopération des Idées à grandir ; il a groupé les bonnes volontés avec tant de patience qu’on peut bien dire qu’il était l’âme et la cheville ouvrière de cette création. Il est resté pour moi un exemple vivace de ce que peut un homme tenace quand les idées sont mures et qu’il s’agit de leur fournir un corps. Evincer Deherme de ce qui a été son œuvre plus que celle de ses collaborateurs, même les plus actifs c’est commettre une spoliation. Je ne suis pas au courant des vieux démêlés. Mais je dis avec une entière fermeté : ce que je sais de l’origine de l’œuvre. Deherme est le fondateur de la Coopération des Idées. On ne lui enlèvera pas ce titre … un droit. Si vous le voyez, dites lui que le médecin me défend autant que possible les … du soir et … que j’ai un grand regret de devoir manquer à la réunion du Lundi 9 Mai Place Voltaire. Sentiments distingués Le pasteur C. Wagner |
1904 | X. - Jacques BONZON, 12 mai. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 13 mai. | VOIR | |
1904 | Albert PERRET - Jacques BONZON, 13 mai. | VOIR | |
1904 | G. BOISMOREAU - Jacques BONZON, 14 mai. | VOIR | |
1904 | ROUBAUD - Georges DEHERME, 16 mai. | VOIR | |
1904 | Jules SAGERET - X. (Jacques BONZON), 17 mai. | VOIR | |
1904 | Henri de ROURE - X. (Jacques BONZON), 17 mai. | VOIR | |
1904 | Jacques BARDOUX - X. (Jacques BONZON), 18 mai. | VOIR | |
1904 | E. LECOMTE - Georges DEHERME, 18 mai. | VOIR | |
1904 | (de) BOYVE - Georges DEHERME, 25 mai. | VOIR | |
1904 | Paul-Armand HIRSCH - Jacques BONZON, 30 mai. | VOIR | |
1904 | Léonce ARMBRUSTER - Georges DEHERME, s.d. [juin 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Léonce Armbruster Avocat à la Cour d’Appel Paris. 42, rue de Grenelle. Mon cher Deherme – Par suite de mon changement de domicile j’ai reçu votre avis trop tard et je n’ai pu me rendre à votre convocation. Soyez assuré que je suis avec vous, et que mon concours vous est acquis de toutes les manières. Bien cordialement vôtre Léonce Armbruster |
1904 | X. - Georges DEHERME, s.d. [juin 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Samedi, Monsieur, Je suis désolée de ce qui arrive. Pendant les trois années durant lesquelles j’ai consacré beaucoup de mon temps et de mon travail à l’U.P. je m’étais attachée à ce public, dont la curiosité est un stimulant pour le conférencier et dont l’intelligence et le courage ne peuvent manquer d’exciter sa vive sympathie. L’impression désagréable que m’a faite dès le début Mr Vitta, n’a fait que s’accroître, et bien que je me sois promis, que je n’abandonnerais pas la partie tant que j’aurais des auditeurs, il m’a été impossible de retourner au Château, et mes conférences se sont espacées, puis, vu l’évidente mauvaise volonté de Mr Vita, ont cessé tout à fait. Je me faisais une fête de les reprendre Lundi. Ce n’est pas que les occupations me manquent – j’ai fait, cet hiver, des conférences à la Sorbonne, dans la banlieue, et je continue une série au Musée Social, mais il y avait chez vous, un petit noyau de têtes familières que je remarquais toujours et dont la fidélité faisait plaisir. Dans tous les cas, si je puis vous être utile soit dans l’œuvre reprise, soit dans un groupe nouveau, je vous prie de compter sur moi - mon concours tel qu’il est, vous est acquis, ainsi que mes sentiments d’estime et de sympathie. Signature [illisible] |
1904 | Marcel HEYMANN - Georges DEHERME, s.d. [juin 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Marcel Heymann Avec l’assurance de sa sympathie et de son admiration. 87, rue de Rennes |
1904 | A. GUISSET - Georges DEHERME, s.d. [juin 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Mr Deherme Dans le cas, ou cela pourrait vous être utile, vous pouvez faire usage de ma lettre, d la façon qu’il vous conviendra le mieux. Je rends hommage à la Coopération des idées et vous engage à poursuivre l’œuvre commencée. Votre dévoué A. Guisset |
1904 | Paul BUREAU - Georges DEHERME, s.d. [juin 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Paul Bureau Professeur à la Faculté libre de Droit et à l’Ecole des hautes études sociales 33, Rue du Cherche-Midi 17e Ayant lu le très beau et vigoureux article de la Coop. des I., venant exprimer à Monsieur Deherme la grande et chaude sympathie que lui inspire une vie si fermement consacrée à l’éducation d’une démocratie qui a tant besoin de formation morale. Vous nous donnez ? Monsieur de beaux exemples et croyez qu’il ne seront pas oubliés. |
1904 | Jean RAYNAL - Daniel HALÉVY, s.d. [juin 1904]. | VOIR | |
1904 | Raoul de la GRASSERIE - Georges DEHERME, 3 juin. | VOIR | |
1904 | Léon BIGOT - Georges DEHERME, 4 juin. | VOIR | |
1904 | GUÉRIOT - Georges DEHERME, 4 juin. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 5 juin. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 5 juin. | VOIR | |
1904 | P. GROSJEAN - Georges DEHERME, 5 juin. | VOIR | |
1904 | BRUNETEAUX - Daniel HALÉVY, 6 juin. | VOIR | |
1904 | OLLIER - Georges DEHERME, 7 juin. | VOIR | |
1904 | Eugène BRICHÉ - Jacques BONZON, 17 juin. | VOIR | |
1904 | Jean RAYNAL - Daniel HALÉVY, 20 juin. | VOIR | |
1904 | LORNOY - X. 29 juin. | VOIR | |
1904 | E. LOISEAU - Georges DEHERME, 30 juin. | VOIR | |
1904 | Emile DELEROT - Georges DEHERME, s.d. [juillet 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Monsieur J’ai l’honneur de vous adresser ci-inclus un bon de poste de 10 fr montant de ma cotisation pour 1904-1905. Veuillez la considérer comme un témoignage de sincère sympathie pour l’œuvre que vous avez fondée et que vous continuez courageusement, malgré les difficultés si pénibles contre lesquelles, vous avez eu à lutter. Agréer, Monsieur, l’assurance de ma considération la plus distinguée. Emile Delerot A Versailles, 46, Avenue de St Cloud |
1904 | Pierre NATTAN-LARRIER - Georges DEHERME, s.d. [juillet 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Lundi soir Cher Monsieur, Voici la petite adresse que vous m’avez demandé de communiquer. D’après les journaux, elle arrive très tard puisque le référé venait non pas Mardi comme vous me l’avez indiqué mais Vendredi. J’espère néanmoins qu’elle pourra vous être utile. La rédaction diffère un peu de celle que vous avez demandé, certains d’entre nous ayant estimé difficile de flétrir les manœuvres employées contre vous sans être parfaitement au courant de ce qui s’était passé. Vous avez trop le sentiment de l’équité, n’est-il pas vrai cher Monsieur Deherme ? pour vous étonner qu’on hésite, lorsqu’il faudrait condamner sans entendre. Ce que chacun a eu à cœur de dire, c’est la haute estime ou l’on vous tient, c’est l’importance qu’il y a, aux yeux de tous ceux qui s’intéressent au mouvement d’émancipation des classes laborieuse, à laisser Deherme à la tête de l’université qu’il a conçue, qu’il a crée et soutenueCe que je peux personnellement ajouter après avoir lu votre résumé, c’est qu’il ne faut pas perdre courage. Croyez le bien, votre œuvre n’est pas de celle qui meurent et vous ne vous êtes pas trompé lorsque vous avez consacré toute votre activité, votre intelligence, votre énergie a développer la « Coopération des Idées ». Et je tiens à vous dire ces paroles d’espoir, à un moment où je suis écrasé moi-même car je viens de perdre l’une de mes plus chère affection. Croyez moi, cher Monsieur Bien à vous sympathiquement Pierre Nattan-Larrier |
1904 | Emile COUVELAIRE - Georges DEHERME, 21 juillet. | VOIR |
ÉCHOS
Jeudi (21 Juillet 1904) Mon cher Deherme J’ai appris l’autre jour par une lettre de Duvernay me transmettant une lettre de Boismoreau la fermeture –provisoire, j’espère– de la C.D.I. et j’ai lu dans L’Humanité d’hier le procès qui s’engage entre vous et vos adversaires. Ne connaissant pas du tout les motifs de cette scission, je ne veux prendre parti pour aucun et je tiens à être absolument neutre. Toutefois, avant de vous le dire de vive voix, je tiens à vous exprimer toute l’admiration et la sympathie que je ressens pour vous et l’œuvre que vous avez faite. Et dès que l’U.P. sera rouverte, vous me trouverez au premier rang tout comme auparavant. Si je vous écris ceci, c’est que Duvernay -sollicité de jouer au Château – s’étant adressé à moi, je lui ai dit d’y aller et que je ne voudrais pas que vous prissiez ce fait come l’indice d’un parti-pris quelconque. Nous jouerons au Château, comme nous avons joué et comme nous jouerons à la Coopération, comme nous jouons – devant 6 personnes- dans n’importe quelle U.P. J’irai d’ailleurs vous voir à l’un de mes prochains voyages et en attendant je vous serre cordialement la main en espérant voir au plus tôt la fin de ces luttes intestines. Émile Couvelaire Peloton des Dispensés Montargis ? |
1904 | J.-E. CORYN - LEMARQUIS, 25 juillet. | VOIR |
ÉCHOS
Monsieur l’administrateur provisoire Adhérent de l’Université populaire depuis sa fondation, rue Paul Bert, j’ai l’honneur de vous faire connaître que je me suis présenté, il y a quelques jours à la Coopération des idées et qu’à mon grand étonnement je n’ai pu y pénétrer qu’en signant un bulletin comportant mon adhésion aux statuts d’une nouvelle Société. Je pensais que jusqu’à ce qu’intervienne une solution judiciaire sur le fond du débat qui divise les membres de l’Université populaire, personne ne pouvait paraître prendre directement ou indirectement possession d’une institution remise à votre garde et que le maintien du statu quo formait la base même du mandat qui vous a été confié. J’assistais le 2 mai dernier à votre entrée en fonction ; vos déclarations d’absolue impartialité entre les deux parties adverses sont encore présentes à ma mémoire. Je pense qu’il me suffira de vous les rappeler pour faire cesser l’abus que je vous signale et qui a sans doute échappé à votre vigilance. Veuillez agréer, Monsieur l’administrateur l’expression de mes sentiments dévoués. J.B. Coryn |
1904 | G. LEMARQUIS - J.-E. CORYN, 27 juillet. | VOIR | |
1904 | H. FOLLIN - Georges DEHERME, s.d. [1904]. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, s.d. [1904]. | VOIR | |
1904 | Mme CHALAMET - Georges DEHERME, s.d. [1904]. | VOIR | |
1904 | Georges DEHERME - X. s.d. [août 1904]. | |
ÉCHOS
La Coopération des Idées Fondée en 1894 – Directeur-Fondateur : G. Deherme 234, Faubourg St-Antoine (Cour St-Antoine). Paris Conférences – Cours – Bibliothèque – Spectacles – Concerts Chaque personne qui contribuera à notre œuvre par une souscription annuelle de 10 francs au moins recevra une carte d'entrée permanente, la revue mensuelle et le programme des soirées. Cher Monsieur, Je vous remercie de m'avoir communiqué La Croix de Coutances. J'y répondrai volontiers, dans Le Progrès dont vous m'offrez aimablement l'hospitalité, si je n'étais pris en ce moment, comme vous le savez, par la reconstitution de mon œuvre d'éducation populaire et laïque. La question est d'ailleurs très complexe, et, quand on ne dispose point des lumières providentielles, très difficile à éclaircir. Je ne suis pas de ceux qui croient que tout est fait, je suis plutôt de ceux qui pensent que tout est à faire, - et qu'il faut le dire. Les Croix ont beau jeu il est vrai : leur foi s'appuie sur quelques siècles de puissance. La doctrine laïque n'est même pas formulée. Notre instruction n'a pas donné ce qu'on en attendait, parce que ce qu'on en attendait naïvement, est d'un autre ordre. Quant à notre éducation, elle sera efficace quand… nous aurons une morale laïque. Je sais bien que de tels aveux ne sont pas politiques et qu'il faut que les Japonais remportent tous les jours des victoires éclatantes ; mais l'éducation morale n'a rien à voir avec la politique, ni ma vérité. Les succès matériels et apparents ne sont pas de bon aloi. Ceux de l'idée laïque et démocratique, en ces derniers temps, ne m'enthousiasment pas! J'y vois plutôt une reculade puisqu'on ne les obtient qu'en renonçant aux principes mêmes. Nous lâchons la proie pour l'ombre, je veux dire les conquêtes de vérité et de li-berté pour les satisfactions du pouvoir. Cela m'attriste. On ne vit pas par la destruction, on ne vit que par la création. Toute l'histoire est d'un même développement. L'Église, la Monarchie furent nos génitrices. Respectons les. Mieux, aimons les dans le passé. Chaque siècle doit transmettre aux siècles suivants ce qu'il a reçu des précédents en y ajoutant la part de son effort. Le passé nous a légué sa beauté, sa pensée et sa gloire, - ses Cathédrales, ses Institutions, et la Patrie. Or, non seulement nous n'y ajoutons rien, mais nous nous employons à les détruire. Elles ne sont plus dans l'esprit moderne? Mauvaise raison. Ce qu'il y a de beauté dans les Cathédrales est de tous les temps; ce qu'il y a d'ordre, de liberté, d'humain dans les chartes communales est de tous les temps; ce qu'il y a d'héroïsme dans la fidélité au Roi, chef de la Nation, et l'amour de la Patrie est de toujours, - et plus vraiment humanitaire que certaines déclarations internationalistes. Il faudrait ajouter à ce capital sacré, et non retrancher. Ce n'est pas en vain que l'Église a discipliné les barbares et consolé les âmes, ce n'est pas en vain que la Monarchie a organisé la France, -ou tout est vain. Laissons vivre ce qui vit encore, et créons ce qui demande à vivre. La liberté est féconde. Aujourd'hui, elle s'impose, à cause de la diversité des esprits et de la divergence des courants. Ce qui m'effraye, dans l'état actuel des choses, c'est de voir que ceux qui n'ont de raison d'être que par la liberté y renoncent si délibé-rément. |
1904 | Dr LEGRAIN - Georges DEHERME, 2 août. | VOIR | |
1904 | Théodore MONOD - Georges DEHERME, 5 août. | VOIR |
ÉCHOS
Lucerne, 5 Août 1904 Cher monsieur, Je lis votre appel à vos anciens collaborateurs, et je le médite au pied des montagnes, qui reposent de la société souvent plus rude, des hommes. Il est étrange que l’on ait pu (correctement, paraît-il) non pas « changer l’enfant en nourrice » - ce serait déjà fort, - mais l’enlever aux bras de sa mère. Voilà longtemps qu’on essayait ; cette fois, l’on a réussi. « Nous recommencerons », dites-vous. A la bonne heure. Je tâcherai d’être un coopérateur un peu plus opérant que par le passé, et, en attendant, je vous prie de m’inscrire pour vingt cinq francs sur la nouvelle souscription. Bon courage. Un ami de la rue Paul Bert Th. Monod |
1904 | X. - Georges DEHERME, 6 août. | VOIR | |
1904 | Alfred NAST - Georges DEHERME, 6 août. | VOIR | |
1904 | Frédéric PASSY - Georges DEHERME, 7 août. | VOIR | |
1904 | J. A. CLÉMENT - Georges DEHERME, 8 août. | VOIR | |
1904 | E. RIGOLAGE - Georges DEHERME, 8 août. | VOIR | |
1904 | Paul DESJARDINS - Georges DEHERME, 9 août. | VOIR |
ÉCHOS
Cerisy-la-Salle (Manche) Mardi 9 août 1904 Cher monsieur Deherme, Je vous félicite de recommencer. Vous avez vraiment du ressort ; les roublards qui vont ont évincés n’en auront pas autant. Les égarés vous reviendront. Et en effet il était très important que vous ne fussiez pas, même en apparence, celui qui ferme, qui fait cesser, qui fait taire. En rouvrant, vous rallierez ceux qui ne savent rien du fond de l’affaire et qui veulent seulement que l’U.P. soit sauvée, que les efforts faits ne soient pas abolis. Ceux-là sont assez nombreux, je crois. Les coopérateurs ne vous manqueront pas. Je souhaite que vous … assez pour organiser vos cours et conférences en fonction des besoins de votre public et la fin que vous poursuivez, plutôt qu’en fonction du personnel dont vous disposez. Par exemple si vous cherchez, comme je le crois, à raffermir la raison et à l’entretenir libre, dans le petit groupe que vous pouvez atteindre, vous avez à régler votre enseignement en conséquence, puis, tels exercices étant reconnus nécessaires, vous vous adressez aux collaborateurs qui, selon vous, s’en acquitteront le mieux, en leur proposant une tâche déterminée. En ce qui me concerne, je ne vous indique donc pas ce que je suis prêt à faire ; je me tiendrai prêt à faire, dans la mesure de mes forces, de ma préparation et de mes rares loisirs, ce que vous jugerez bon de me confier. Comptez sur moi pour quelques samedis soirs. En principe je vous suis acquis : voilà ce dont je puis déjà vous assurer. Ci-inclus dix francs pour ma cotisation. Fidèlement à vous, de cœur et de volonté Paul Desjardins |
1904 | CHAMBERLIN - Georges DEHERME, 9 août. | VOIR |
ÉCHOS
Vic sur Aisne, 9/8 1904 Mon cher Monsieur Deherme, Je suis dans l’impossibilité de répondre en ce moment à l’appel de fonds que vous venez d’adresser aux fidèles de la Coopération des Idées. J’espère néanmoins pouvoir vous envoyer dans les premiers jours d’octobre, non pas toute la somme que je voudrais pouvoir consacrer à la belle œuvre que vous avez entreprise et qu’une violente bourrasque a si fortement ébranlée, mais la cotisation minimum de 10 francs que me permettent seulement mes modiques ressources. Je constate avec plaisir que les obstacles de toutes sortes qui surgissent contre votre belle œuvre ne peuvent ébranler votre indomptable énergie ni votre foi dans le succès de votre entreprise, que vous aviez fondée au prix de tant de peine et de sacrifices. Je pensais plus particulièrement à vous en lisant ces jours-ci dans la correspondance de Béranger une lettre que l’illustre chansonnier adressait à un ami qui était allé faire un voyage en Italie. Après lui avoir demandé des nouvelles du pape qu’il compare à une vieille sentinelle dans sa guérite, sur un amas de décombres, exposée à toutes les bourrasques d’une époque de tempêtes et qui lui paraît n’être plus mise là que pour tirer le canon d’alarme à chaque désertion qui se produit dans son armée, depuis si longtemps à la débandade, le brave Béranger invite cet ami, qui est probablement un littérateur, à faire un nouveau livre pour vulgariser la vraie philosophie et il a ajouté cette phrase qui s’applique si bien aux Universités populaires telles que vous les comprenez : « Il est bien temps que cette grave matrone descende dans la rue, au risque de se crotter un peu ; le jour où elle plantera sa chaire sur une borne, je croirai au salut du peuple ». Cet homme qui fait descendre la philosophie dans la rue, n’est-ce pas vous le fondateur des universités populaires qui avez compris, comme notre grand chansonnier, que là, en effet, était le salut du peuple et par conséquent du pays. Malheureusement l’essai que vous avez fait, après avoir donné de belles espérances, n’a pas abouti au résultat poursuivi, parce que, suivant l’expression de l’évangile, le bon pasteur a été remplacé par un mercenaire qui a complètement troublé la bergerie. Il faut espérer que la nouvelle tentative que vous allez faire aura plus de succès. A mon prochain voyage à Paris, c’est à dire dans le courant octobre, je me propose d’aller au 234 du faubourg St Antoine, voir votre nouvelle installation et assister, si possible, à l’une de vos soirées. Je prendrai aussi pour mes lectures d’hiver, quelques ouvrages dont je vous enverrai la liste en temps utile. En attendant le plaisir de vous voir et de causer un peu avec vous, je vous présente, Monsieur, mes bien sincères salutations. Chamberlin |
1904 | Victor MADELAINE - Georges DEHERME, 12 août. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 13 août. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 13 août. | VOIR | |
1904 | Hortense ALLART - Georges DEHERME, 13 août. | VOIR | |
1904 | A. CHARBONNE - Georges DEHERME, 13 août. | VOIR | |
1904 | J. GILSON - Georges DEHERME, 13 août. | VOIR | |
1904 | R. CLAPARÈDE - Georges DEHERME, 16 août. | VOIR | |
1904 | M. RAGONNAUD - Georges DEHERME, 16 août. | VOIR | |
1904 | Henriette MORRIS - Georges DEHERME, 22 août. | VOIR |
ÉCHOS
Mademoiselle Henriette Morris Heureuse d’apprendre que vous avez l’énergie de continuer votre action, en conservant les mêmes principes qu’au début, vous renvoie, avec ses plus sympathiques souhaits et …, sa cotisation annuelle pour votre université populaire. |
1904 | X. - Georges DEHERME, 22 août. | VOIR | |
1904 | E. LECOMTE - Georges DEHERME, 24 août. | VOIR |
ÉCHOS
Cher Monsieur, Ci-inclus j’ai le plaisir de vous envoyer 2 fr pour le renouvellement de 6 mois à votre petite revue, La coopération des idées. Il y a bien longtemps que je n’ai pas eu de vos nouvelles, je désire de tout cœur que vos tracas soient passées et que les jours soient meilleurs pour vous. Je sais hélas ! par expérience le cruel déchirement de cœur que l’on éprouve, lorsqu’on se voit arracher ce que l’on a crée avec beaucoup de peines, de soins, avec ardeur, avec amour, ce qu’il [est] douloureux de la voir détruire et combien cette douleur est tenace. Vous êtes jeune, intelligent, énergique, de grande bonne volonté ; quand cette peine amère sera un peu calmée on ne peut que vous dire : continuez, quand même, ce que vous avez si vaillamment commencé. Monsieur Pécheux est en vacances. C’est un instituteur de mérite s’accordent à dire les inspecteurs ; mais pas du tout photographe. Mr. Vilmet de Rethel, de qui est notre Hôtel de Ville, m’a fait le plus grand éloge des photographies que vous avez bien voulu m’envoyer et qu’il a vues avec grand plaisir. Je souhaite bien vivement, bien sincèrement, cher Monsieur, la fin de tous vos tracas de toutes vos peines, vous priant de croire à mes plus affectueuses sympathies. E. Lecomte Le Châtelet sur Retourne - Ardennes 24 Août 1904 |
1904 | L. VARENNE - Georges DEHERME, 25 août. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 26 août. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 28 août. | VOIR | |
1904 | KOENIG - Georges DEHERME, 30 août. | VOIR | |
1904 | P. GROSJEAN - Georges DEHERME, 30 août. | VOIR | |
1904 | A. MAZON - Georges DEHERME, s.d. [septembre 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
A. Mazon - Principal de Collège - Avesnes (Nord) A Monsieur Deherme C’est simplement l’excès de nos occupations – je parle au nom de M. Ouinet, surveillant général au collège d’Avesnes et au mien – qui nous a empêchés de vous adresser l’expression de notre profonde estime et de notre ardente sympathie dans la lutte que vous avez eu à soutenir pour la défense, non seulement de vos droits, mais des principes que vous avez toujours représentés à la Coopération des Idées et au nom desquels nous nous sommes ralliés à vous. |
1904 | Jules RAVATÉ - J.-B. GIROD, 12 septembre. | VOIR | |
1904 | Jules RAVATÉ - J.-B. GIROD, 18 septembre. | VOIR | |
1904 | Joseph BADIN - Georges DEHERME, 22 septembre. | VOIR | |
1904 | Hubert BOURGIN - Daniel HALÉVY, 25 septembre. | VOIR | |
1904 | Raoul de la GRASSERIE - Georges DEHERME, 26 septembre. | VOIR |
ÉCHOS
Mantes, 26 7b 1904 Mon cher Confrère, Je viens de parcourir avec beaucoup d’intérêt le n° relatif à votre procès, et vous pouvez être sûr de toute ma sympathie dans toute cette mauvaise querelle qu’on vous suscite. C’est d’ailleurs le sort de tous les hommes d’initiative et qui ont instauré des idées nouvelles si justes et des institutions utiles d’être persécutés par des personnalités jalouses. Je vois qu’une souscription est ouverte pour la continuation de votre œuvre, je vous prie de vouloir bien m’inscrire pour une somme de cinq francs que vous trouverez ci-inclus en un mandat. C’est peu de chose, mais c’est surtout une protestation contre les procédés qu’on emploie à votre égard. Je vous avais demandé, si je ne me trompe les opuscules suivants : La guerre et la paix par les chiffres Le Foyer 2 f La dépopulation par Hirsch 40 Et le mouvement éthique, Moulet 6 f 1 30 que je vous ai envoyé en timbre-poste. J’ai ….…le premier de ces ouvrages. Le second m’a été envoyé en hommage par l’auteur. Je n’en ai donc plus besoin. Quant au troisième, je….. pour rien mais j’y renonce, il ne m’intéresse plus Il en résulte qu’il me revient sur mon envoi 1. f 05 que je déduis des cinq francs de souscription. Vous recevrez donc une somme nette 4 f. Je vous remercie de votre aimable hospitalité dans votre revue ; je suis toujours à votre disposition. Encore une fois avec tous mes hommages les plus sympathiques et respectueux. Votre tout dévoué. Raoul de la Grasserie. |
1904 | Gabriel TRARIEUX - Georges DEHERME, 27 septembre. | VOIR |
ÉCHOS
St Georges de Didonne 27 sept. 04. Monsieur, Je viens de lire, avec un vif intérêt, le plaidoyer de Jacques Bonzon. Il m’a convaincu que vous êtes victime d’une fort vilaine manœuvre. Je vous envoie inclus un mandat poste de 10 fr. Je vous prie d’en appliquer 4 à mon abonnement à votre feuille la Coopération des Idées. Je regrette de ne pouvoir faire davantage pour vous témoignez une estime et une sympathie déjà anciennes. Gabriel Trarieux |
1904 | X. - Georges DEHERME, 28 septembre. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 28 septembre. | VOIR | |
1904 | BISSET Yvon. - Georges DEHERME, 29 septembre. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 30 septembre. | VOIR | |
1904 | GLEIZE - Mme SAILLARD-DIETZ, s.d. [octobre 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Octobre 1914 Chère Mme Hier en rentrant à 7 heures, pr diner, je fus bien saisie d’apprendre que je ne devais pas me rendre à votre concert du soir, une dame étant venue en mon absence prévenir, de ne pas me déranger pr le concert du fg St Antoine, que d’ailleurs elle prévenait Assunta de son côté, et qu’à ma rentrée, je ne m’en préoccupe nullement. J’avoue que mon premier mouvement, fut de m’y rendre qd même, mais mon père me dit qu’il y aurait là indiscrétion de ma part, à forcer une consigne. Qu’Assunta n’y serait pas, et que ma présence serait ridicule et inutile, d’après cette visite. D’un autre côté, comme je n’avais pas reçu d’invitation de votre part, pour ma famille et des amis, je me tiens le raisonnement suivant : que le concert n’avait pas lieu, et était reporté à une autre date, ou bien encore, qu’ayant trop d’artistes, vs vs absteniez de faire entendre Assunta cette fois. Dans ts les cas, je prévois une énigme que je serais heureuse de voir éclaircir. Veuillez recevoir chère Mme l’assurance de mes meilleurs sentiments. Gleize |
1904 | Gabriel SÉAILLES - Georges DEHERME, s.d. [octobre 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Barbizon (S et M) Mon cher ami, Je suis en ce moment assez fatigué ; je n’irai point à Rome pour le congrès, comme j’en avais l’intention ; de plus j’ai à terminer un volume sur Renouvier pour Alcan, et cette besogne en retour m’effraie. J’ai donc le regret de ne pouvoir préparer une conférence pour votre réouverture du 1er octobre. Je ne vois pas du reste que ce fait puisse donner lieu à des interprétations inexactes : j’ai écrit moi-même à des membres de la C. des I. pour leur dire combien j’étais désolé de votre départ et que je considérais comme inacceptable votre conclusion d’une œuvre qui avait certainement vécu et prospéré par notre effort. Il n’y a pas à se dissimuler d’ailleurs que cette lutte a été bien malheureuse. J’avais promis à deux ou trois U.P. de province d’aller y porter la parole en 9bre mais si cette fatigue se prolonge, je crains bien de ne pouvoir tenir parole. Bien cordialement à vous. G. Séailles |
1904 | E. LECOMTE - Georges DEHERME, 5 octobre. | VOIR | |
1904 | H. BOURGIN - Daniel HALÉVY, 6 octobre. | VOIR | |
1904 | Olivier BILLAZ - Georges DEHERME, 10 octobre. | VOIR |
ÉCHOS
Paris, le 10 octobre 1904 Cher Monsieur, J’ai bien reçu le petit livre que vous avez eu l’obligeance de m’envoyer et qui me paraît, en effet, excellent. Je vous promets d’en parler dans la Revue idéaliste, si toutefois je continue à écrire dans cette feuille qui me paraît dévier de plus en plus de l’idéal que lui avait fixé Trolliet. Mais je vous reparlerai de cette question dès que j’aurai le loisir d’aller vous voir, ce que, je l’espère, ne tardera pas trop. En attendant, permettez-moi de vous envoyer, pour votre œuvre admirable de la Coopération des Idées, si généreusement et libéralement sociale, la modeste somme de 10 fr, que je vous adresse par mandat-poste. Je ne suis pas très au courant de ce qui s’est passé pendant les vacances. J’avais seulement donné ordre, chez moi, de ne pas payer les quittances qui pourraient être présentées par la poste au nom de la Coopération des idées, car je craignais, et avec raison, je crois, qu’on vous eût volé le titre même de votre œuvre. Je voudrais être moins vieux, ou moins pauvre, et pouvoir vous aider. Je vous prie d’agréer, avec mes vœux les plus sincères pour la réussite de votre nouvelle œuvre, l’expression de mes sentiments de bien vive sympathie. Oli. Billaz Prof au lycée Buffon 220, avenue du Maine |
1904 | E. VITTA - Daniel HALÉVY. 23 octobre. | VOIR | |
1904 | SAILLARD - Georges DEHERME, 25 octobre. | VOIR |
ÉCHOS
Le 25 Octobre 1904 Cher Monsieur Ma femme était très surprise dimanche soir d’être privée d’une artiste sur laquelle elle était fondée à pouvoir compter absolument. Je vous envoie la carte que nous avons reçue hier, et qui explique l’absence de Mlles Gleize et Assunta Bendio –sans expliquer cependant la mystérieuse intervention qui s’est produite, et à laquelle ma femme, bien entendu, est complètement étrangère. Serait-elle attribuable à quelqu’un envoyé par l’université populaire du 157, où l’on aurait les adresses, peut-être, de ces deux personnes ? et aurait-on eu pour objet de démolir, dans la mesure du possible le programme que vous aviez annoncé ? Toutes les suppositions sont permises pour expliquer cette mystification de mauvais goût. Nous nous envoyons, cher Monsieur, l’assurance de nos sentiments les meilleurs. Saillard Auguste Saillard, officier de l’Instruction publique, fondateur de l’Institut administratif, préparatoire à tous les concours de l’administration publique. |
1904 | Jean RAYNAL - Daniel HALÉVY, 4 novembre. | VOIR | |
1904 | E. MASSON - Georges DEHERME, 14 novembre. | VOIR | |
1904 | Jean RAYNAL - Daniel HALÉVY, 22 novembre. | VOIR | |
1904 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, s.d. [décembre 1904]. | VOIR |
ÉCHOS
Cher Collègue Ci dessous le texte d’un appel qui paraît dans mon numéro de décembre. A vous. Dr Legrain. |
1904 | Georges DEHERME - Henri HAYEM, s.d. [décembre 1904]. | VOIR | |
1904 | Georges DEHERME - Henri HAYEM, s.d. [décembre 1904]. | VOIR | |
1904 | Georges DEHERME - Henri HAYEM, s.d. [décembre 1904]. | VOIR | |
1904 | Alcanter de BRAHM - Georges DEHERME, 10 décembre. | VOIR | |
1904 | Alphonse DRAPÉ - Georges DEHERME, 13 décembre. | VOIR | |
1904 | Henri HAYEM - Georges DEHERME, 21 décembre. | VOIR | |
1904 | Henri HAYEM - Georges DEHERME, 21 décembre. | VOIR | |
1904 | X. - Georges DEHERME, 22 décembre. | VOIR | |
1904 | Jacques BONZON - Georges DEHERME, 22 décembre. | VOIR | |
1904 | Henri HAYEM - Georges DEHERME, 23 décembre. | VOIR | |
1904 | Henri HAYEM - Georges DEHERME, 24 décembre. | VOIR | |
1904 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, 25 décembre. | VOIR | |
1904 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, 27 décembre. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - GOUVERNEUR DE GUINÉE, s. d. [1905]. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - GOUVERNEUR DE GUINÉE, s. d. [1905]. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - A. THALAMAS, s. d. [1905]. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - X. s. d. [1905]. | | |
1905 | X. - Georges DEHERME, s. d. [1905]. | | |
1905 | Jules RAVATÉ - WAITZ, s. d. [1905]. | VOIR | |
1905 | X. - Georges DEHERME, s.d. [janvier 1905]. | | |
1905 | BUISSON Ferdinand - DEHERME Georges, janvier 1905 (s.d.) | VOIR | |
1905 | E. VITTA - Daniel HALÉVY, 4 janvier. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 10 janvier. | VOIR | |
1905 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, 15 janvier. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 18 janvier. | VOIR | |
1905 | Docteur LEGRAIN - Georges DEHERME, 18 janvier. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 22 janvier. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 26 janvier. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 29 janvier. | VOIR | |
1905 | A. BELLAIGUE - Georges DEHERME, 2 février. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 2 février. | VOIR | |
1905 | A. THALAMAS - Georges DEHERME, 4 février. | VOIR | |
1905 | Emmeline WEILL-RAYNAL - Daniel HALÉVY, 10 février. | VOIR | |
1905 | René BEDAUX - Daniel HALÉVY, 20 février. | VOIR | |
1905 | B. GUELLER - Danile HALÉVY, mars. | VOIR | |
1905 | X. - X.. 2 mars. | VOIR | |
1905 | E. BABUT - Georges DEHERME, 8 mars. | VOIR | |
1905 | BUISSON Ferdiand - DEHERME Georges, avril (s.d.) | VOIR | |
1905 | B. GUELLER - Daniel HALÉVY, s.d. (1er avril ). | VOIR | |
1905 | MINISTÈRE DU COMMERCE - Georges DEHERME, 5 avril. | VOIR | |
1905 | GOUVERNEMENT GÉN DE L'A.O.F. - Georges DEHERME, 5 avril. | VOIR | |
1905 | A. MILLERAND - Georges DEHERME, 11 avril. | VOIR | |
1905 | MINISTÈRE DU COMMERCE - Georges DEHERME, 11 avril. | VOIR | |
1905 | X. - Georges DEHERME, 12 avril. | VOIR | |
1905 | GOUVERNEMENT GEN DE L'A.O.F. - Georges DEHERME, 12 avril. | VOIR | |
1905 | J. CHAILLEY-BERT - Georges DEHERME, 18 avril. | VOIR | |
1905 | MINISTÈRE DES COLONIES - Georges DEHERME, 20 avril. | | |
1905 | GOUVERNEMENT GÉN DE L'A.O.F. - Georges DEHERME, 9 juin. | VOIR | |
1905 | BOHL - Gabriel SÉAILLES, 1er juillet. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - X. 4 août. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - Gouverneur Général, 26 septembre. | VOIR | |
1905 | X. - Daniel HALÉVY, 28 septembre. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - Couverneur Général, 6 novembre. | VOIR | |
1905 | Georges DEHERME - Gouverneur Général, 18 novembre. | VOIR | |
1905 | X. - Daniel HALÉVY, 4 décembre. | VOIR | |
1905 | X. - Daniel HALÉVY, 24 décembre. | VOIR | |
1906 | Adolphe ALHAIZA - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Ahmed RIZA - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Albert VAN DEN PLAS - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Maurice BOUCHER - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Marcel DECAUX - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Abraham DREYFUS - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Georges DURUY - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Alfred GIARD - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Joseph GILLET - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Auguste KEUFER - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Jean LARMEROUX - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Alexandre MILLERAND - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Docteur NICATI - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Jules PAYOT - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | E. RODENFUSER - Georges DEHERME , s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Manuel SILBERSCHMIT - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | René VALLETTE - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | GOUVERNEMENT GÉN DE L'A.O.F. - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | | |
1906 | Alcanter de BRAHM - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Louis BOISSE - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Léon BRUNSCHVICG - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | F. BUISSON - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | A. CARON - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | E. DELBET - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Joseph SERRE - Georges DEHERME, s. d. [1916]. | VOIR | |
1906 | Henri DARGEL - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Henri DERONDE - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Félix DREYFUS - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | F. FAGNOT - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Dr. FOVEAU de COURMELLES - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Henri HAYEM - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Paul-Armand HIRSCH - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | Albert JOUNET - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |
1906 | F. L. CHAMBERLIN - Georges DEHERME, s.d. [1906]. | VOIR | |